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ARTISTE PEINTRE DANY CHAMPÊME

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Hymne à la vie - DANY CHAMPÊME

LE NOUVEAU MARCHE DE L'ART

LE NOUVEAU MARCHE DE L'ART Une révolution est en train de bouleverser le marché de l’art international. en France, des sociétés commerciales françaises et étrangères agréées sont autorisées à vendre des œuvres d’art, domaine qui était le monopole des commissaires-priseurs depuis 1556. La plus longue page de l’histoire du marché de l’art français est donc définitivement tournée, et la société américaine Sotheby’s a inauguré ce nouveau marché de l’art international, avec ses premières ventes à Paris, les 29 et 30 novembre 2001. Cette réforme oblige les commissaires-priseurs à se transformer en sociétés commerciales. C’est aussi la fin d’une regrettable confusion qui a toujours « pollué » le marché des artistes vivants, sous le prétexte, que leur cotation n’était matérialisée que par le caractère dit « officiel » des ventes effectuées par des commissaires-priseurs. La réalité de toujours est que la cotation d’un artiste vivant ne s’établissait ni dans les ventes du passé des commissaires-priseurs, ni dans celles effectuées depuis cette année par des sociétés commerciales agréées, mais par les ventes réalisées dans les galeries, les salons ou dans les ateliers des artistes. Les œuvres d’art vont donc être vendues aux enchères par des sociétés commerciales. Cette réforme va réparer une injustice et conforter notre démarche au bénéfice des artistes contemporains. Car les ventes justifiées juridiquement,à l’association Drouot Cotation des Artistes Modernes et Contemporains, par des artistes et par des galeristes qui ont la passion de la création et qui s’impliquent financièrement, sont aussi indiscutables que les ventes aux enchères effectuées par des sociétés commerciales. L’idée si naturelle de rendre enfin justice aux artistes vivants, en diffusant leur véritable cotation, ouvre une nouvelle ère pour le marché de l’art contemporain, car l’éternelle aporie de l’artiste était : « Pour vendre il faut être connu, et pour être connu il faut vendre ! », elle sera, nous l’espérons, enfin résolue. Ce dictionnaire de cotation sera chaque année une référence et un instrument de travail incontournables, pour les artistes, les galeristes, les experts, les sociétés commerciales agréées, et tous ceux qui s’intéressent de près ou de loin au marché de l’art.

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Saturday, October 22, 2011

21/10 | 07:00 | mis à jour à 14:12 | Colette Sabarly

Est-ce le moment d'investir dans l'art ?

Les oeuvres d'art ne procurent aucun revenu. Aussi faut-il être très attentif au prix d'achat, qui va conditionner l'éventuelle plus-value à la revente, votre seule chance de gain.

ECRIT PAR
Colette SABARLY
Pigiste
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Un Picasso vendu 106,4 millions de dollars chez Christie's à New York, un Modigliani adjugé 68,9 millions de dollars chez Sotheby's, un bronze de Giacometti parti à 65,6 millions de livres chez Sotheby's Londres... A plus d'un titre, l'année 2010 a été une année très fructueuse pour les ventes publiques d'oeuvres d'art. S'il n'est pas complètement déconnecté des turbulences économiques, le marché de l'art s'est, en effet, repris après l'onde de choc de 2008. « Il lui a fallu six mois pour se rétablir », se souvient Fabien Bouglé, de Saint-Eloy Consulting. Mais, aujourd'hui, alors que nous assistons à une réplique de la crise de 2008, le marché de l'art est-il à nouveau touché ? Selon les professionnels, un certain attentisme se fait à nouveau sentir. « Les ventes d'automne de New York et de Londres vont très vite nous donner la tendance, mais, quoi qu'il en soit, les oeuvres d'art constituent une valeur refuge, poursuit Fabien Bouglé.Contrairement aux "hedges funds", un Renoir continue d'exister malgré la crise. » Si la peinture reste la principale demande des investisseurs, la sculpture n'est pas non plus absente. « Aujourd'hui, nous enregistrons une demande plus soutenue pour la sculpture », indique pour sa part Antoinette Léonardi, responsable du conseil en art pour BNPParibas Banque Privée. Le dessin, quant à lui, reste un marché plus confidentiel et concerne essentiellement une clientèle de connaisseurs. Une chose est sûre : le marché de l'art n'est rien à côté des marchés financiers. « En 2010, les ventes aux enchères ont représenté 20 milliards d'euros, soit, bon an mal an, quatre jours de cotations boursières, et même si l'on y ajoute les ventes de gré à gré, c'est vraiment une goutte d'eau dans la mer », remarque encore Fabien Bouglé.

Acheter à contre-courant

N'importe qui peut acheter une oeuvre d'art. Encore faut-il disposer d'un bon budget (lire encadré) et bien définir les contours de la collection qu'on veut éventuellement monter. Dans un objectif de diversification de patrimoine, les professionnels sont unanimes : le ticket d'entrée s'établit entre 50.000 à 100.000 euros. Un minimum pour atteindre le marché international et être sûr qu'en cas de besoin, l'oeuvre trouvera des amateurs à Londres ou à New York. « Les records se font plutôt sur des oeuvres d'avant-guerre, ce qui ne veut pas dire que la période impressionniste ne bat pas certains records », observe Fabien Bouglé. Il faut avoir à l'esprit qu'une oeuvre d'art ne rapporte aucun revenu, contrairement à d'autres placements. Certes, elle jouit d'une fiscalité très attractive (pas d'ISF) mais c'est la plus-value à la revente qui fera, outre la passion éventuelle, l'intérêt du placement. D'où la nécessité de ne pas se tromper. Or, sur le marché de l'art contemporain, plus accessible, les effets de mode jouent fortement sur la cote. S'il réserve parfois de belles surprises -pour preuve, Basquiat, qui se négocie aujourd'hui de 1 à 10 millions de dollars contre 3.000 dollars à l'origine -, il faut être très sélectif. « Dans tous les cas, il faut investir prudemment, être attentif à la qualité de l'oeuvre, à sa conservation, s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une copie, même si aujourd'hui on a une meilleure connaissance de la provenance des oeuvres, et avoir à l'esprit de toujours préserver le prix d'achat, conseille Antoinette Léonardi, c'est possible en achetant à contre-courant des oeuvres de belle qualité. » Un seul mot d'ordre : on devient meilleur investisseur en s'intéressant à l'art.

COLETTE SABARLY

Un ticket d'entrée élevé
En fonction de son budget, il faut déjà cerner le marché sur lequel on peut se placer. Le marché de l'ancien précédant le XVIIIe siècle intéresse quelques initiés fortunés, férus d'esthétisme et s'entichant de toiles de Poussin, Boucher, Fragonard... Des oeuvres rares qui se vendent de petites fortunes (10, 20 millions d'euros...). Les oeuvres du XIXe et de la période impressionniste sont également très appréciées et rencontrent davantage la clientèle étrangère. Si un Monet ou un Gauguin restent réservés à l'élite, d'autres pistes sont à explorer, par exemple, Emile Bernard dans sa période Gauguin (300.000 à 400.000 euros), Henri Moret, qui a travaillé avec Monet (autour de 50.000 euros). L'art moderne et l'art contemporain attirent davantage une clientèle de jeunes traders, de patrons de société ayant fait fortune et qui investissent dans un but plus spéculatif. « En art contemporain, on peut démarrer à 5.000-10.000 euros, mais, sans connaissances en art, c'est un marché risqué, explique Fabien Bouglé. En revanche, un passionné qui sent bien les tendances peut faire d'excellents achats. »

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